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La boulangerie Stiesz devenue Lecompte, Kanny et Chaudron. Le personnel et des clients posent pour la postérité, y compris le petit dernier. Aujourd’hui, façade modernisée, elle a pour nom « A l’Épi de Blé ». C’est dans cette boulangerie que les ouvrières de l’atelier de confection de Salmon Seiligmann passaient le matin, acheter le croissant pour la pause matinale.
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Intérieur de l’église au début du 20éme siècle, avec son beau luminaire disparu et les superbes oriflammes qui appartenaient sans doute à l’association Sainte Anne, association des bourgeoises de Foug qui œuvraient pour les personnes âgées. (on peut citer Mmes Royer, Schneider, Lefèvre et Créancier). La superbe chaire est l’œuvre d’un ébéniste local M. Renard.
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Cette fleur se plait dans les prairies humides et les forêts clairsemées sur sols humides.
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A la fin du printemps, la forêt de Moncel, abrite la campanule à feuilles de pêcher qui décore les talus forestiers.
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Tout comme sue Harouin, cette plante se plait dans les forêts de feuillus, dans l'ombre sur des sols argileux.
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J'aime particuliérement le bleu des ancolies tout comme celui des gentianes cilliées.
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"Le jour est venu, il est temps que je rentre à l'abri de mon sous bois pour dormir tout mon saoûl. Je suis vanné, allez, je m'étire un bon coup et je rentre !"
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La plante aime les lisières, le bord des chemins et les prairies sèches sur des sols calcaires et chauds.
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Elle se plait sur le bord des allées, sur les terrains vagues, mais toujours bien ensoleillés.
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Cette plante qui aime la chaleur, se plait sur le bord des chemins, dans les prairies et sur les pelouses sèches.
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En haut à gauche, le bas du clocher était en mauvais état, il vient d’être réparé. L’église a été construite en 1703, avec les pierres du château dit « de la Reine Blanche ». Le cadran de l’horloge était noir aux chiffres blancs ; c’est l’inverse aujourd’hui. A gauche la porte cochère du tailleur M. Rebois. L'inscription au dessus de la porte de l’église en latin, qui veut dire « Maison de Dieu et porte du ciel » .
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L’ancienne école des garçons, avant que les Fonderies se s’installent et qu’il soit nécessaire de construire un nouveau groupe scolaire, du fait que le nombre d’écoliers est passé de 80 à 200. Sur le pas de la porte, M. Dudot, le directeur qui a connu les deux écoles. L’école des filles était derrière le presbytère, là où Salmon Seiligmann installera son atelier de confection.
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Rue Serrière, on peut facilement se rendre compte que Foug était une commune agricole à cette époque, mais elle était surtout viticole.
Pour les faouins d’aujourd’hui, cet arrêté municipal fixé sur le lavoir qui est au fond à droite, est incompréhensible. En fait les lessives utilisées, c’était les cendres de bois neuf et les lavandières pour réserver leur place au lavoir, posaient leur cendrier rempli à l’avance. C’était malin, mais l’arrêté a mis fin à cette pratique abusive.
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L’hirondelle des ruisseaux creuse son nid dans le sable des berges des rivières. On trouve un colonie intéressante à Chalaines (55).
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Présent toute l’année, niche dans les haies jardins, parcs et forêts. Il visite les mangeoires l’hiver.
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Ce migrateur aimait les haies des parcs le long de la Meuse, de Pagny à Troussey. Les haies ont été coupées, les migrateurs ont disparu.
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Cette maison était au 17éme siècle, l'hostellerie de la Couronne, dont on voit la porte ; sur son fronton, une statue de Vierge à l'Enfant et sa devise.
Pour ceux qui n'arriveraient pas à lire correctement :
« NVL BIENS SANS PEINE, PAIX SOIT EN CEST MAISON ET TOVT CEVX QUI ABITTERONT - 16 X19 »
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Sous les vignes de Savonnières, pousse en été sur des sols secs et caillouteux, le sédum reprise avec les belles couleurs roses de ses boutons.
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La ronce a vu ses fleurs se transformer à l’automne, en fruits qui cueillis, feront une bonne confiture. C’est aussi le bonheur des randonneurs quand les fruits sont mûrs. La ronce depuis plusieurs années diminuait un peu partout et c’était le hêtre, le chêne, le noisetier et le fusain qui prenaient sa place. Elle recommence à gagner du terrain, en lisière des forêts.
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