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L'été, bordant l’Ingressin, comme tous les ruisseaux, la salicaire élève sa tige florale.
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L’été, le rare et beau panicaut champêtre que l’on trouve parfois aux Herbues entre Lay Saint Rémy et Pagny sur Meuse, dresse ses jolies bractées épineuses.
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L’été, sous les vignes de Savonnières, l’épiaire qui aime les terrains humides y déploie ses bractées.
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Les premières fleurs sortent comme par magie, dans une partie humide de la forêt. Cette fleur est rare, mais elle pousse en grandes nappes.
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La grande gesse tubéreuse s’étend fin juin, sur la pelouse calcaire de Foug et sur la côte de Demangevignes.
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En juillet, sur la pelouse calcaire de Foug et de Troussey, le rare œillet des chartreux déploie ses pétales élégantes.
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Cet oiseau commun, est renforcé en hiver, par des troupes venues du nord et de l’est de l’Europe.
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La statue de Saint Georges ornait la porte haute qui, au moyen âge, barrait cette rue. Celle-ci a été détruite en 1742, pour des problèmes de circulation. La statue a été déplacée sur cette maison. Aujourd’hui, plus de berger pour emmener les moutons sur la pâture communale au lieu dit « la Pelouse ».
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A droite, à l’angle de la Rue des Remparts, la maison Lapaillote, démolie par la Commune par mesure de sécurité.A gauche, la maison blanche, c’était celle de M. Paul Michel, marchand de peaux de lapins au début du 20éme siècle.
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Amer et sans intérêt culinaire, il pousse en touffes peu fournies, sur les souches et les troncs de chêne ou de saule.
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Comestible, elle est commune en été et en automne, sur les vieux troncs et les souches fraîchement coupées de chêne et de châtaigniers.
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Sans intérêt culinaire, il pousse dans les forêts de feuillus et de pins ou d’épicea en été et en automne.
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En 1897, une usine venait s’implanter sur son territoire pour y fabriquer des carreaux et pavés céramiques en grés non vitrifié et en 1899 une société était constituée ; cette société prit le nom de Société Anonyme des Carrelages et Céramiques de Foug, puis de société Decker, Mouraux et Cie.
La production du début de l’usine de carrelages, avec un four et une quarantaine d’ouvriers s’est constamment accrue jusqu’en 1914 où sept fours, occupant 250 ouvriers, produisaient 260.000 mètres carrés par an ; la direction est assurée par M. Daubray, secondé parson sous directeur,M. Desaintfuscien. Le tonnage de matières premières et marchandises transportées par voie ferrée et fluviale dépassait 20.000 tonnes.
La guerre de 1914 a arrêté cette progression. Pendant la guerre, les Carrelages se muèrent en usine de la Défense Nationale, auxiliaire des Fonderies de Foug. C’est de là que sortirent les fameuses grenades Citron-Foug.
Fin 1918, la fabrication a été reprise à l’usine de carrelages, mais à production un peu réduite. Le nombre d’ouvriers n’arrivait qu’à une centaine. La société s’est efforcée de loger son personnel par l’acquisition de maisons et la construction de cités ouvrières au quartier des sources : les cités des carrelages.
L’usine de carrelages ferma ses portes en 1935, concurrencée par les grès vitrifiés venus d’Italie. On trouve encore aujourd’hui, ces carrelages en particulier au rez de chaussée de la Mairie, dans l’Église ainsi dans plusieurs maisons de la localité. Vendue, l’usine a été rachetée par les Fonderies.
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A fond, à fond, à fond, les enfants !!! Faites comme maman, le "Jean Alesi" des circuits routiers de la forêt faouine !! Et ne vous occupez pas de l’agent O.N.F., il n’est pas encore équipé de radar mobile !!!
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L’ aigayoir ou gayoir, c'est une réserve d’eau pour laver les chevaux et les faire boire . Le 27 décembre 1930, la commune décide, suite à la noyade, en 1927, du jeune Ridoz, de remblayer l’aigayoir avec les terres des travaux du contournement de la RN4.
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D’avril à octobre, on trouve ce papillon sur tous les terrains incultes ou dans les clairières.
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Habituellement, on l'entend, mais on ne voit guère surtout en approche, mais ce coucou là était trés docile, il a pris la pose sans problème et plusieurs fois.
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