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C'est la première année que mes hirondelles de fenêtre (4 nids) arrivent de migration si tard le 7 juin ! Habituellement c'est entre le 27 avril et le 13 mai. Elles reconstruisent les nids abimés par l'hiver dernier.
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On peut retrouver certains d'entre eux, grâce aux cartes postales anciennes ou semi modernes. Cette maison, c’était celle de M. Paul Michel, marchand de peaux de lapins au début du 20éme siècle.
Le café de l’Hôtel de Ville tenu par M. Lahalle puis, par M. Spohr.
Ce café existait en 1914, il a été remplacé par l’épicerie de Mme et M. Humbert, puis par la confiserie de Mme Bisot.
La succursale N°201 des Comptoirs Français de M. Tremblot, à la création du magasin, pour faire la devanture, on a fait simple : deux panneaux de bois.
En juin et juillet 40, les soldats allemands avaient réquisitionné les produits alimentaires et contrôlaient régulièrement dans les boulangeries si les boulanger ne dépassaient pas les quantités de pain destinées à la population. Sur cette photo, il y a un attroupement de faouins venus demander à M. Guyez (seul boulanger sur les 4 de la commune à être resté à la débacle) s’il y avait du pain ce jour là ? Certaines personnes en étaient réduites à quémander de la nourriture aux soldats Allemands qui avaient plus que nécessaire et devaient même en jeter. Certains soldats ont accepté de donner de la nourriture en trop à la population. Sur cette carte le magasin de M. Guyez. Dans les années 50, ce bon boulanger livrait le pain dans sa Quadrillette Peugeot, dans laquelle il m’autorisait à monter pour aller à l’école, avec un croissant en prime !
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