Un martin-pêcheur "zenement" attentif sur un jonc !! A quoi pense-t’il ?? Est-il en méditation au bord de l’eau ?? Ou rêve-t’il du beau poisson qu’il va se mettre dans le bec ?? En tout cas, plus sérieux et tranquille, on ne peut point !!! 

Pratiquement tous les terrains étaient cultivés et on voit des tas d'échalas de vigne bien alignés. Au fond, à droite on voit l’usine de carrelages et le développement de l’usine des Fonderies, avec la halle Grosses Pièces déjà construite. De nos jours les terrains sont souvent en friche.

Depuis la construction du canal et du chemin de fer, des entreprises se sont installées : l'usine de carrelages Decker, Mouraux et Cie et les fonderies de Ponr-à-Mousson. Le 20 mars 1909, le nombre des enfants des écoles s’est accru : de 80 on passe à 250 élèves en cinq classes ; il est à prévoir que d’ici peu les salles des deux écoles seront trop petites. La construction du groupe scolaire est prévue à 354 000 francs. Le conseil emprunte 110 000 francs sur 30 ans.

A la rentrée de 1912-1913 les enfants seront reçus dans le groupe scolaire exécuté par Lucien Lafarge, architecte à Toul.

Le 20 octobre 1912, à 11h30, aux sons de la fanfare des usines Munier de Frouard et de la Lyre Touloise, Albert Lebrun, ministre des Colonies (futur Président de la  République), descend du train venant de Toul, à la gare de Foug et devancé par des gendarmes à cheval et encadré par la compagnie des sapeurs pompiers, s’en allait à pied, inaugurer le groupe scolaire. A 12h30, à lieu dans le préau de l’école, un banquet réunissant 700 invités.

Y participaient : le préfet Bonnet en uniforme, le député maire de Toul Albert Denis et d’autres personnalités, Hergott, le sous préfet de Toul, Grosdidier le député de Verdun, les sénateurs Chapuis et Langenhagen, les généraux Defforges et Rémy, le maire de Foug Henri Créancier, le directeur de  l’usine Henri Cavallier et l’architecte Lucien Lafarge, concepteur des bâtiments  inaugurés.  Ces bâtiments servent encore en partie pour la collége Louis Pergaud et pour l'école primaire et la maternelle.

Le lis martagon, magnifique fleur  montagnarde accepte de nous enchanter avec une station d’une bonne cinquantaine de fleurs à Harouin. Au printemps 2002, une autre station de lis martagon, d’une dizaine de fleurs à Moncel, puis l’année suivante, une troisième station, toujours à Moncel ; mais ce lis n’a pas toujours la possibilité de se développer, car le chevreuil l’adore en bourgeons.  

 Ce papillon nocturne est commun dans toute la France. Il aime les lisières et jardins.  Il vole parfois en plein jour le soir venu.

Comestible, appelé aussi blafard, il est très commun à la fin du printemps dans toute forêt, mais plus fréquent sur sol calcaire.

   Momo ou Goupil   &   Zaza ou P'tite Laie

Il s'agit du blog nature d'un photographe amateur et historien amateur, accompagné d'une dessinatrice, amateur également. Tout cela sans aucune formation initiale spécialisée, en apprenant tout en pratiquant. Toutes les photos nature sont réalisées en approche, aucune en affut. Merci à Marie Jo qui m'a incité à partager mes photos sur le net.

Zaza et moi pensons qu'il vous intéressera un peu. N'hésitez pas à commenter les travaux. 

Bonne visite et à bientôt