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Maître Lièvre est inquiet : que fait ce rapace à tournoyer au dessus de lui ? Va-t-il aller se cacher sous un bosquet, ou va-t-il tenter le dialogue ?? Maîtresse Buse lui tint à peu près ce langage "Oh là, Maître Lièvre, ne crains pas pour tes poils, aujourd’hui, j’ai envie de vipère, à la chair si pimentée !!! Mais méfie toi quand même, je ne suis pas tous les jours, d’humeur si clémente !! "
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Cette plante de lisières et de pelouses sèches propére sur plusieurs types de sol, mais pas trop humides.
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Les fossés humides et les ruisseaux, se parent en mai, après les longues feuilles vertes, des superbes fleurs jaunes de l’iris des marais. C'est cette fleur qui a servi de modèle aux « fleurs de lys » de la royauté française, qui n'on rien à voir avec le Lys, mais issues des « fleurs de Louis » qui se prononçaient « fleurs de Luis ». C’est Louis VII qui a choisi ces fleurs comme emblème.
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"Coucou, me voici, me voilà !! Eh oui, j’en impose et que du muscle !!!
On ne voit que moi sur ce colza !! Mais non, petit agriculteur, ne pleure pas, je ne le mangerai pas ton colza, je préfère le maïs."
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Cette plante se plait dans les pelouses sèches, les remblais de chemins de fer, sur sol riche. Elle est un peu rare, mais souvent groupée.
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Cette plante se plait le long des lisières et sur les décombres, sur sol riche.
Elle est un peu rare.
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On la trouve également sur d'autres pelouses calcaires : Domgermain, Troussey et parfois sur celle de Foug / Lay-Saint-Rémy
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La magnifique nappe d’orchis pourpre, sous les vignes de Savonnières, se réduit fortement d’été en été, de par l’activité humaine.
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A gauche le café de l’Hôtel de Ville tenu par M. Lahalle puis, par M. Spohr. À droite, le drapeau qui domine la mairie, ne flotte pas ... il est en acier. Aujourd’hui, ce café comme beaucoup d’autres (environ 21 avant la dernière guerre) a fermé ses portes.
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Tous les soirs en quittant mon travail vers 17 heures, j'ai eu rendez vous avec ce lièvre, pendant onze jours. Tous les jours je réussissais insensiblement à m'approcher. Au début je le photographiais à dix mètres minimum, puis de jours en jours le onzième jour, je l'ai photographié à trois mètres. Il s'était habitué à moi et avait compris que je ne représentait pas un danger. Photo prise à trois mètres.
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Le fusain d’Europe offre en automne, l’un des derniers fruits colorés de la saison.
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Camille Cavallier, Président de la Société des Hauts Fourneaux et Fonderies de Pont à Mousson, en septembre 1905, constatant que son usine de Pont à Mousson comme beaucoup d’usines de la vallée de la Moselle, était en grève avec des piquets tournants, d’une usine à une autre, essayant d’empêcher le personnel d’entrer dans les usines, décide de créer l’usine de Foug entre le canal et le chemin de fer. En septembre, on commence à acheter les terrains. En janvier 1906, avait lieu la première coulée et déjà dans la même année, deux nouvelles halles de fonderie à plat furent crées. En 1907, commença la coulée des tuyaux debout dans un coin de la Grand Halle . L’usine va étendre son territoire sur 39 hectares et sur 2 kilomètres de long entre le Chemin de Fer et le Canal.
L’usine est alors sous la direction de M. Henri Cavallier, tandis que M. Arthur Caspar en est le sous-directeur et M. Pierre Ageron, chef de la fonderie à plat.
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Sur le bord des chemins de la pelouse calcaire de Foug, en juin ou juillet s’élève cette fleur grêle qu'on appelle aussi Agrimoine..
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Cet insecte cherche les lieux humides et sur les plantes à fleurs jaunes, telle que la marguerite.
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Le renardeau vient de boire dans une résurgence de la Meuse, il se retourne, je fais la photo et je m'aperçois que sa patte arrière droite est bléssée et ne touche pas le sol. Il démarre mal sa vie.
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