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L'un s'envole pendant que deux autres
tentent de remonter la température de leur corps.
Merci à Mamléa pour l'identification
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Photo souvenir d'une rencontre avec Vincent,
photographe de la nature (au pied de l'arbre couché)
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La mise en eau du canal et son inauguration ont lieu le 1er novembre 1851, mais le niveau de l’eau ne monta que lentement. De plus, on se rendit compte très vite que la canal manquait d’eau.
Les ingénieurs Déromé et Picard étudièrent plusieurs solutions dont une en 1875 qui proposait de créer deux réservoirs dans les marnes de l’oxfordien, l’un dans le val de l’Âne, à l’origine de la vallée de l’Ingressin, ( 10 mètres de hauteur de retenue sur une superficie de 50 ha) l’autre dans le val de Passey, à la source du Petit Ingressin ( 12 mètres de hauteur de retenue sur une superficie de 25 ha) et leurs eaux auraient été amenées par une rigole à l’entrée du souterrain de Foug.
Ce projet n’a pas été retenu, car le fond des deux vallées était tapissé d’une couche épaisse de tourbe spongieuse, qui aurait pu compromettre l’étanchéité des cuves ou nécessiter des fondations très puissantes pour ces digues et que dire des réclamations faites par les usagers de l’Ingressin (moulins, ...).
En 1871, M. Varroy, député du département de la Meurthe, (futur ministre des travaux publics) demande, tout comme le conseil général de la Meurthe l’a déjà demandé depuis longtemps, d’augmenter le tirant d’eau de 1,60 mètres à deux mètres entre Gondrexange (Moselle) et Foug, afin d’éviter le transbordement des bateaux de houille à Gondrexange, ce qui nécessite plus d’eau.
Suite aux sécheresses de six mois de 1895 et 1898, on se rendit compte de manière encore plus cruciale des ressources insuffisantes en eau. Le trafic en était considérablement ralenti. Industriels, commerçants et mariniers se plaignaient vivement.
Pour ce faire, plusieurs décisions ministérielles 1er avril 1876, 21 octobre 1876 et 19 mai 1877 pour réaliser une rigole d’alimentation grâce à une usine hydraulique de Pierre la Treiche, franchissant les vallées en siphon, recevant près de Valcourt la conduite ascensionnelle de cette usine hydraulique de 850CV, qui avait pour objet d’envoyer avec une pente de 10 à 20 centimètres par kilomètre, à l’entrée du souterrain dans le bief de partage, des eaux de la Moselle ( 650 litres minimum par seconde et 50.000 mètres cubes maximum par jour), destinées à concourir avec celles de Vacon, au remplacement des pertes par infiltration et celles des éclusées. Coût de l’ensemble 1.439.356 francs.
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